Kitsune « Membre ● Hybride »
PUF : Fougy, mais libre à vous d'en trouver Nombre de messages : 10 Age : 27 Date d'inscription : 28/06/2012
Carte d'identité Espèce: (Pas encore validé) Niveau: 1 Techniques / CT:
| Sujet: Vous avez parlé d'un Démon ? Ah, d'un Renard.... C'est pas grave, je suis les deux : Kitsune ! Jeu 28 Juin - 23:47 | |
| J'aurais pu faire mieux, je sais, mais je trouve que c'est déjà pas mal =D Et j'ai pas le courage de faire plus long. Sur ceux, bonne lecture ! EDIT : j'espère ne pas avoir laissé trop de fautes d'orthographe « Présentation de Kitsune » Avant de les mettre, autant prévenir, je n'ai trouvé que ça qui convenait à peu près, mais aucune des deux ne convient vraiment à mon personnage et je n'ai pas vraiment envie de me casser la tête pendant des heures à trouver nu personnage et une image de feunard qui correspondent à ce que je veux pour faire le personnage, et je n'suis pas une assez bonne dessinatrice pour vous en faire un dessin...
Ancien nom (optionnel) : Requiem Nom : le nom que votre personnage porte dans l'Aléah. Âge : 16 ans Sexe : Si vous m'avez vu incarner un personnage masculin, appellez moi. C'est une fille. Espèce : De couleur jaune orangé, il possède neuf queue et est réputé pour sa longévité et le pouvoir dissimulé en chacune d'elles. J'ai nommé Feunard.
« Plus en profondeur... »
Description physique : « Ces queues.. Ces oreilles.... Est-ce les miennes ? » Deux petites oreilles, assez hautes tout de même, d'une dizaine de centimètres de haut et tout au plus la moitié de large à forme triangulaire, à quelque chose près, se dressent là, sur sa tête, remplaçant les oreilles rondes caractéristiques des Humains. Ces oreilles sont recouvertes d'une mince fourrure légèrement orangée, et bien plus sensibles que celles-ci. Frôlez-les, et elle les secouera. Criez trop près d'elles, et cela la blessera légèrement. Rien de grave, juste une douleur aigue au niveau des tympans.
« Si un regard pouvait tuer...Personne ne pourrait m'approcher. » Des traits tirés par la souffrance. Des traits tirés prématurément. C'est ce qu'elle a. Un visage mature, qui aurait dû garder les marques de l'enfance, d'une enfance joyeuse et insouciante. Bien qu'elle puisse être qualifiée de « jolie », cette maturité effrayante a plutôt tendance à repousser qu'à attirer. Et ses yeux... D'un argent profond, ils sont semblables à ceux d'un assassin, ne laissant passer aucune émotion, captivants et effrayants à la fois, ils semblent absorber toute lumière et plonger dans un océan sans fin quiconque ose s'y égarer.
« Ce que je suis.... Je ne sais pas. » Ses cheveux, d'une couleur légèrement dorée, proche de celle de la fourrure de ses oreilles, est composé d'un certain nombre de mèches hirsutes jusqu'au épaules, se prolonge néanmoins jusqu'à couvrir la base de ses queues, en une chevelure tantôt épaisse, tantôt fine, lisse et aussi douce que sa fourrure. A l'extrémité de son dos partent neuf queues de la couleur de ses oreilles et à l'extrémité d'un orange plus marqué, battant l'air, s'enroulant autour d'elle ou se pavanant dans son dos à la manière de celles du pokémon de qui elle les a hérité au gré de sa volonté.... Ou de ses instincts. Sa peau est d'albâtre, ne prenant jamais de couleur hormis le rouge des fréquents coup de soleil qu'elle a le don d'attraper...Sa peau de bronze pas. Des genoux jusq'aux pieds, ses jambes sont celles d'un feunard. Notre hybride est également sensible à la douleur, qu'elle soit physique ou morale, ou encore celle des autres, mais elle ne sait l'exprimer, pas même par des cris, des pleurs, ou une simple émotion.
Caractère : « La Lune... » Bien que ça aille à l'encontre de sa nature, humaine comme pokémon, elle préfère de loin la nuit au jour. Elle a d'ailleurs habitué ses yeux au manque de lumière. Souvent relativement calme, l'hybride est semblable à un sac qu'on remplirait d'air : elle accumule ses émotions négatives, tristesse, colère, et tout ce qui est semblable, et le laisse exploser d'un coup lorsqu'il est trop plein, ce qui fait d'elle quelqu'un de très lunatique. Elle pourra parfois supporter d'être injurier pendant des heures comme elle pourra se mettre en colère en moins d'un centième de seconde. Et comme elle pourrait oublier cette colère en ce même laps de temps. Inutile d'essayer de prévoir ses sautes d'humeur, c'est tout bonnement impossible, à moins que vous ne possédiez un don de prescience capable de fous informer des évènements des prochains millièmes de seconde comme des prochaines heures. Ce qui est également chose peu aisée. Surtout s'il s'agit de contrôler ce don.
»Nakama...? » C'est une personne plutôt solitaire que nous avons là, qui n'apprécie pas vraiment la compagnie, surtout lorsqu'elle est trop importante. En revanche, elle a toujours su plus ou moins si elle pourrait s'entendre avec quelqu'un ou non. Ses amis sont rares, mais aucun n'est de ceux avec qui on devient ennemi au premier travers... Du moins le semble-t-il. Parfois hésitante dans ses décisions, elle ne foncera pas tête baissé quelque part... A moins que l'un de ceux qu'elle considère comme ami ne soit en danger.
Non !! Je ne... » Cette hybride a une fierté qui lui est propre, et elle n'aime pas qu'elle soit nu peu trop piétinée. Elle n'a pas vraiment de notion de « bien » ou de « mal »il y a simplement pour elle le pourquoi des actions. Elle ne juge pas les autres, elle observe. Juger ne lui sert à rien, il y a eu trop de fois où son jugement était erroné. En revanche, et c'est peut-être que ce qui fait, plus que tout autre trait de caractère, qu'elle est ce qu'elle est : elle est effrayée. Terrifiée, même. Et ce qui la terrifie tant, malgré qu'elle ne le laisse nullement paraître, c'est elle-même. Ce qu'elle est, ce qu'elle a pu être, cette force qu'elle possède ancrée en elle, ce qu'elle pourrait devenir, tout ça la terrifie. Ce qu'elle peut faire la terrifie. Et c'est ce qui est le plus important en elle. Sa peur d'elle même, plus que cette crainte d'être enfermée entre quatre murs ou dans une foule.
« Le Passé, c'est le Passé ! »
Histoire : »Ici, il n'y a rien. Rien qui en vaille la peine. » Trahison. Dévastation. Voilà tout ce que j'ai trouvé ici. Douleur. Désespoir. Tout cela n'est pas encore là. Cependant, je le sens, dans chaque geste, chaque parole de ceux autour de moi, chaque moment vécu...[/i] Mon nom est Requiem. Jolie nom ? Ne vous fichez pas de moi ! Un joli nom ? C'est sûr, le chant que l'on adresse aux morts est parfois magnifique. J'ai perdu mes parents alors que j'avais trois ans. Assassinés. Et puis Ils m'ont trouvé. J'étais là, assise devant ces corps, les yeux rouges sans avoir versé aucune larmes, et je chantais. Je chantais ce requiem oublié de tous. Je chantais ce Requiem qui n'appartenait plus qu'à moi. Alors ils m'ont nommé Requiem. Je n'ai plus de souvenirs d'avant ça. Seulement ces visages figé, ensanglanté, par terre. Et puis, Ils m'ont placé à l'orphelinat. Je n'ai jamais été adopté. Qui voudrait d'une enfant comme moi qui arrive à deviner ce que les autres pensent ou vont dire ? Qui voudrait d'une enfant qui a échappé à un massacre ? Personne. C'est ce qui résume ce que je suis. C'est ce qui résume ceux en qui j'ai confiance. Personne. Ou presque. Seulement Elle. Ma précieuse amie. Elle aussi est orpheline. Je crois qu'elle a été abandonnée à la naissance. Elle arrive à sentir le danger autour des autres, et dire d'où il vient. Aria. C'est son nom. Ma précieuse, seule et précieuse amie. Je la connais depuis toujours. Ou depuis que je suis ici. Il ne sert à rien de conter ma vie, il n'y a pas grand chose à dire dessus. Aria m'a sauvé. Plus d'une fois. Alors que tous les autres m'ont rejetée, m'ont blessée et humiliée, elle, elle est restée à mes côtés. Elle m'a soutenue. Comme je l'ai soutenu parfois. Trop peu souvent. J'aurais aimé lui rendre plus avant ce jour. Avec elle, j'arrivais à rire, à pleurer. On avait le même âge, et étions dans la même classe. Elle était meilleure que moi, mais je possédais des réflexes qu'elle n'avait pas. Et surtout, elle, elle connaissait mes chansons. Elle les comprenait. Elle comprenait ce langage que même moi j'avais du mal à comprendre. Mes Chansons. Contrairement aux autres, elle avait compris la profondeur de mon Requiem, ce chant qui m'a donné mon nom.
Et puis, ce jour est arrivé. Nous nous baladions tranquillement, pour la dernière fois, après les cours. Ce jour-là, elle m'avait dit que quelqu'un allait l'adopter, qu'elle partirait demain. J'étais triste. Mais je ne pouvais rien faire. Absolument rien. Et mon impuissance me désolait. Elle s'en rendait compte, je le sais. Mais elle ne disais rien. Cela n'aurait fait que remuer le couteau dans la plaie. Pourquoi est-ce toujours ainsi, elle qui me protège de leurs lames acérés, et non l'inverse ? Pourquoi ne puis-je pas l'aider, moi aussi ? Je n'ai jamais su répondre à ces questions. Et ce n'est pas le nombre de fois que je me les ai posés qui a changé cela. Nous marchions tranquillement dans la rue. Quand soudain, quelque chose de brillant attira mon regard, sur le côté. Aria me prévint alors. Un danger. Venant de la droite. Le côté de ce qui brillait. Quelqu'un arriva en courant, un sac serré contre lui. Des gens étaient à sa poursuite. Il me bouscula, tapant non sans force mon bras, rouge de coup de soleil. L'été était là. Je tituba du côté du portail. Il m'attirait, et une part de moi voulait le traverser. Je réussis à me rééquilibrer au dernier moment. « Aria. Il y a un portail. Non, s'il te plait, non ! Reste ici.. N'y va pas. Ne t'en fais pas... Rentrons. »
Peu après, nous étion de retour à l'orphelinat. Celui qui avait adopté Aria était venu plus tôt que prévu. Et alors qu'elle s'apprêtait à rentrer dans la voiture, je su que je ne la reverrais jamais. Un de ces pressentiments que j'ai parfois. « Aria ! Ne les oublie pas. Mes Chants, ils sont aussi les tiens. Tant que tu t'en souviendra, je serais avec toi. - Requiem... Nous nous reverrons ! » Ce sont les derniers mots que nous nous échangeâmes. Même si je hochais la tête, je savais que ce ne serait jamais le cas. Et dans la nuit.... Je me suis éclipsée. Je suis retournée à ce portail. Je me suis arrêté devant, et l'ai regardé. Les rares passants ne le voyaient pas. Je hocha la tête, et le franchis. Personne ne sembla le remarquer. Je n'étais plus..
« Que... Qui suis-je...? Je... » Je me suis réveillée là, sur ce sol étranger. Mon corps était.. Différent. Et plus aucun souvenir. Rien. Rien que mon corps, et cette présence.. Cette sensation que je n'étais pas seule. Je me suis redressée péniblement, et je me suis traînée jusqu'à une flaque d'eau. Là, j'ai découvert mon corps. Des oreilles et des queues en plus. Je perdis à nouveau conscience. Et je me réveillerais plus tard, dans ce même monde. Dans ce même corps. Avec ces queues et ces oreilles. Sans souvenir. Avec seulement moi. »Je suis... Kitsune. » « Présentation de sa moitié Pokémon »
Surnom (optionnel) : Majinai Âge (optionnel) : 906 ans Sexe : Une femelle
« Plus en profondeur... »
Caractère : Feunard... Ce pokémon que les Humains trouvent mystérieux, légendaire, presque. Eh bien, ce feunard, Majinai, et vous vous demandez sûrement comment elle est. Comme la plupart des autres feunards, tout en elle appelle la grâce. Attentionnée, elle reste cependant distante et peut se montrer agressive. Majinai n'aime pas vraiment blesser les autres, mais elle se bat lorsqu'elle le juge nécessaire. Très calme, elle exerce en réalité en permanence un contrôle total sur ses émotions qu'elle ne laisse pas forcément apparaître lorsqu'elle prend une décision. Elle est du genre à réfléchir avant d'agir, mais pas trop, juste ce qui est nécessaire. La sagesse qu'elle a acquis au fil du temps lui permet de prendre rapidement certaines décisions. La présence de jeunes personnes a tendance à faire remonter son caractère joueur et fougueux de sa jeunesse. Voilà qui est l'essentiel sur elle.
Histoire : Je suis née dans une montagne, avec quelqeus autres Goupix et feunards. L'hiver, il faisait très froid. Maintenant, le froid ne me dérange plus guère. Peu m'importe les saisons, mon pelage me permettra de les supporter, et mon feu de me tenir chaud. J'étais un goupix, une jeune goupix pleine de vie et joueuse, un peu bagarreuse. Je me battais souvent. J'étais assez forte. Et souvent, ça finissait par une réprimande de nos parents. J'allais aussi défier les pokémons des alentours. Malgré cela, c'était plutôt paisible. Il n'y avait pas d'Humains pour nous déranger. Alors que tous les autres Goupix se sont éloignés, je suis resté avec les feunards. C'est à ce moment là que je me suis mis à défier des pokémons plus forts que moi. Et je finissais souvent KO. Pas toujours. Et puis, un jour, j'ai trébuché. Et je suis tombé sur une pierre étrange. Elle irradiait la chaleur, et je sentais la chaleur des flammes qui dansaient à l'intérieur contre mon museau. C'est alors que j'ai évolué. Je suis devenue un Feunard. Et j'ai senti l'immense potentiel en moi. J'étais jeune. J'avais alors six ans. Je suis partie. Je défiais souvent d'autres pokémons sauvages, voulant connaître ma force et m'améliorer toujours plus. J'ai alors rencontré un Humain. D'habitude, je les évitais. Mais celui-ci m'a fasciné. Il était jeune. Et il se sentait seul. Je l'ai approché, je me suis assise devant lui. Et je l'ai regardé. Je me suis immiscé dans son esprit, à l'aide des pouvoirs que je détiens. Je lui ai demandé si il se sentait seul. Et il me répondit que oui. Il était assez sensible psychiquement, ce qui me permettait de pouvoir parler avec lui par la pensée. J'avais observé les humains de loin, aussi connaissais-je leur langage. J'avais alors cinquante ans, ma fougue ne m'avait pas encore abandonnée, malgré la sagesse qui s'accumulait en moi. Alors, à ce moment là, je lui ai proposé de l'accompagner. Et je lui ai dis de m'appeler Majinai. Il était mon dresseur, moi son premier pokémon. Bien que j'aie une pokéball, je marchais toujours à ses côtés. Et je le suivit et le seconda. Nous traversâmes bien des épreuves, en 75 longues années. Mais toujours, j'étais à ses côtés, écoutant ses ordres lors des combats, révisant des chorégraphies pour des concours, ajoutant parfois ma touche personnelle. Il y eu des fois où nous tombions tous les deux côtes à côtes, incapables de faire un pas de plus. Il y eu des moments où il me prenait dans ses bras, faisant tout son possible pour essayer de me soigner après un rude combat. Il y eu des fois où je le porta jusqu'à la ville la plus proche suite à une piqure d'un aspicot ou d'un autre pokémon poison. Nous passâmes tant de moments ensemble, qu'il m'est impossible de tous vous les raconter. Et puis, finalement, au terme de ces 75 longues années, il tomba malade. Il était vieux. Je l'avais vu vieillir, alors que moi, il me restait encore de longs siècles à vivre. J'étais triste. Je le surveilla, cinq ans durant. Et puis, il partit. Avant de mourir, il me libéra. Il me dit que je devrait partir, trouver un autre dresseur à suivre. Mais il était mon seul et unique dresseur. Je ne pouvais pas suivre quelqu'un d'autres. C'était lui, ou personne. Je m'éloigna alors des Humains. Et je rencontra un autre feunard. J'en tomba amoureuse, et fis un unique œuf. Mais ce feunard me trahis. Je pris l'œuf et retourna vers la demeure de mon dresseur. Il avait un petit fils, et il recevrait bientôt son premier pokémon. C'était une âme généreuse. Je décida de lui confier mon petit. Je ne me sentais pas capable de l'élever. A ce jeune homme, je remis l'œuf, et je lui fis également jurer de transmettre un message à mon enfant, lorsqu'il serait assez grand, avant qu'il n'évolue. Je surveillerais ensuite la progression de cet Humain jusqu'à ce que mon enfant décide d'évoluer. Et je partis. Toute ma fougue était partie avec la santé de mon dresseur. Maintenant, j'allais observer les Humains. Il m'arriva de maudire des pokémons ou des humains. Il m'arriva de prédire des catastrophes imminentes. Et lors de mes dernières années, je me retira dans un pic gelé toute l'année. Je n'avais pas grand chose à craindre des autres pokémons là-bas, j'étais forte. Très forte. Et mes combats avaient été nombreux, même après la mort de mon dresseur. Il y aura toujours de jeunes pokémons fougueux qui défieront leurs aînés. Et puis, un jour, alors que j'étais affaiblie, quelqu'un vint. Quelqu'un me tua. N autre pokémon. Qui, je m'en moque bien. Il ne me sert à rien de le savoir. Ce n'est pas important. Il me restait moins d'un siècle à vivre, et je n'aurais donné naissance à aucun pokémon durant ce siècle. Je dois avoir despetits-enfants, et même des petits-petits-petits... Enfants. Je m'en moque vraimen. Mais je prononça des dernières paroles à mon assassin. « Toi qui prend ma vie, souviens toi que chacune est précieuse et peut s'éteindre à tout moment. Toi qui m'ôte mon dernier souffle, sache que de nombreuses catastrophes arrivent. La plus grande de toute se prépare, je le sens. Sois maudit, ô toi qui me permet de me reposer ! Tu ne connaîtra véritable avant de trouver un dresseur qui te chérira plus que sa propre vie. »
Je m'éteignit pour jamais sur ces dernières paroles. Cette malédiction ne visait pas à me venger. Seulement à transmettre quelque chose à ce pokémon. Si je pouvais encore aider une jeune âme, je le ferais. Mais maintenant, je pouvais dormir...
PUF : On m'apelle généralement Fougy, mais il m'arrive d'avoir d'autres pseudo. Trouvez m'en un si vous voulez.. Prénom (optionnel) : Si tu arrives à me l'arracher, estime-toi fier, car c'est que tu auras obtenu une part de ma confiance Âge : 15 ans, je crois.
« Partie administrative »
Comment as-tu connu le forum ? Héhéhé ^^ Secret ! Il s'apelle Kyoku, je crois Pourquoi t'es-tu inscrit(e) dessus ? Pourquoi ? Parce que l'histoire et le rôle play proposé me plaît bien et que Grand Maître Vénéré Suprême et son disciple favori y sont *^* Comment le trouves-tu ? Expliquez moi comment je peux savoir alors que je viens de débarquer. Demandez-moi ça dans six mois, je vous donnerais une réponse. Quels sont les codes cachés dans le règlement ? [Mouahahahahahahahahah]
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