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 Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.

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Kyoku
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Kyoku


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MessageSujet: Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.   Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel. Icon_minitimeMar 23 Aoû - 1:39

« Présentation de Nom »


j'aime faire des dessins grands, donc pour voir à quoi ressemble Kyoku, clique ici 8D:

« Généralités »


Ancien nom (optionnel) : Heïchi Atsume
Nom : Kyoku (se prononce Kyokou)
Âge : Le temps passe, immuable, et notre planète a eu le temps de faire 17 révolutions depuis la naissance d'une certaine Kyoku. Soit 17 ans.
Sexe : Elle a tout bien l'air d'être une adolescente presque adulte. Ou alors je dessine vraiment mal.
Espèce : Le pokémon Aura, Lucario.

« Plus en profondeur... »


Description physique :

  • Kyoku ne s’est jamais démarqué des autres pour son physique. Elle n’est, et n’a toujours été qu’une simple élève lambda grouillant aux côté des nombreuses autres vies.
    Peut-être que dans cette masse on peut remarquer un léger manque de féminité dans certains de ses gestes ou comportements, enfin ça relève de là surtout au niveau de son caractère, hors nous n’y sommes pas encore !

    Bref, Kyoku dispose d’une taille moyenne, elle est mince comme l’étiquette de sa famille l’exige. Ses formes ne sont pas des plus merveilleuses. Néanmoins, on peut remarquer une certaine grâce dans ses mouvements, avec une pointe de tristesse, cela étant notamment dû à sa vie familiale et au kendo, sport qu’elle pratique depuis son plus jeune âge et dont la beauté de l’art du mouvement dans les enchaînements fait partie de l’apprentissage. En parlant de kendo, c’est sa plus grande passion, et elle est capable de passer des journées entières à s’entraîner dans ses moments de colère. Ainsi on peut constater sa légère musculature.


    Kyoku ne porte jamais des vêtements vraiment à la mode et déteste tout ce qui est moulant. Elle apprécie les manches longues et en porte même en été sous le regard incrédule de ses proches. De même elle est assez pudique et ne porte jamais une jupe sans un collant. D’ailleurs elle apprécie les jupes, du moment qu’elles permettent des mouvements amples. Elle aime pouvoir savoir qu’elle peut se battre sans que ses vêtements ne la gêne. De nature assez bagarreuse, elle aimait bien traîner dans les quartiers malfamés pour échapper pendant quelques secondes à l’oppression familiale. Une queue touffue et bleue digne de n’importe quel lucario s’y ajoute.
    Pour ce qui est de ses vêtements actuels elle possède une chemise beige/ jaune grisâtre avec un collier serré au coup assortie. Par-dessous figure un t-shirt aux manches serrées jusqu’au niveau des coudes le tout bleu foncé. Après les coudes apparaisse de sous les précédentes manches de nouvelles cette fois-ci plus clair et très amples, cachant ainsi ses mains couverte de mitaines noires de combat. Sur les dos de ses mains figurent deux pointes aussi solides que l’acier et aiguisées. Elle porte une jupe ample arrivant aux genoux, bleue, un collant noir opaque et deux ballerines noires assez souples.
    Sous son t-shirt figue un autre collier, qui est une sorte de montre à gousset mais l’horloge miniature à l’intérieur a laissé place au mécanisme complexe d’une minuscule boîte à musique au son doux et envoûtant. Ce collier était autre fois le jouet favoris de sa petite sœur, et après sa mort elle la garde toujours autour de son cou.

    En passant la porte, elle tenait deux choses, dans une main, celle de son grand frère Mudaï, et dans l’autre son collier.


    Il ne reste plus que son visage. Taillé dans la finesse, elle affiche un masque froid. Pas une touche de maquillage ne vient s’y ajouter, pour plusieurs raisons : elle ne sait pas vraiment en mettre, le matin elle n’est pas assez réveillé et n’a pas envie d’en mettre non plus. Ses yeux, autrefois d’un bleu azur métallique ont pris une étrange teinte violacée et profonde. C’est un regard qui n’a toujours pas perdu l’insondable tristesse et le lourd poids de la fatalité qui y habitait avant. Sa peau est assez blafarde accentuant ainsi la froidure qui l’imprègne. Sa denture humaine a laissé place à des canines aiguisées.
    Ce visage est encadré par une tignasse ébène sans éclat. Une frange assez inégale est longue, un léger dégradé. Ces cheveux descende jusqu’à sa taille. Deux grandes oreilles bleues lui offrant ainsi une ouïe développée. Ces oreilles sont presque constamment en mouvement, et selon ses humeurs ses oreilles auront une position bien particulière.



Caractère :

  • Kyoku, comme tout adolescent détient un caractère spécial, mais une chose est sûre, bien que rare ses sauts d’humeurs sont généralement violente. Avec elle c’est tout ou rien, il n’y a pas de double-mesure. Elle a pris l’habitude d’afficher un masque froid et indifférent, avec une pointe de tristesse néanmoins, devant tout le monde. Bien que le vase soit dur à remplir, dès qu’il déborde elle explose. Soit elle va rentrer dans une rage folle, non qu’elle aura envie de tout casser, mais elle se mettra à rétorquer, crier, provoquer et n’hésitera ni à se battre ni à courir jusqu’à épuisement, ses paroles seront alors aussi dures et tranchantes que le plus solide des diamants. Ou alors, elle peut rentrer dans une tristesse insondable qui lui fera perdre tout goût à aller de l’avant où seul son frère est capable de l’en sortir.


    Un grand vide va surplomber tout son être, l’oublie de son passé, ce médaillon, et Mudaï, cette personne qu’elle connait s’en se souvenir que c’est son frère, va lui torturer l’esprit. Et dans son regard, un profond vide va se rajouter à cette pointe de tristesse qui y règne habituellement.


    Kyoku est loin d’être la candide gamine se jetant dans les bras du premier passant, elle est extrêmement méfiante, même trop et le seul contact qu’elle supporte est celui de son frère. Elle est donc assez froide et distante la rendant quelques peu insociable.
    Très rancunière aussi, toutes les personnes lui ayant fait du mal autrefois s’en souviennent et l’évite désormais. Sauf peut-être sa famille, avant de passer sa porte, elle se haïssait de ne pouvoir venger la mort de sa sœur.


    Elle est aussi rêveuse, et étrangement, lorsqu’elle va atterrir dans ce monde, Kyoku va apprécier particulièrement cette liberté qui lui était affreusement nouvelle. Elle avait l’impression de réaliser un rêve lointain, mais encore trop floue pour qu’elle ne se souvienne de quoi que ce soit.
    Dans ces moments de doute, elle va avoir le réflexe d’attraper son médaillon et parfois elle y écoute aussi la douce musique qui en sort. D’autres fois elle va se rapprocher de son frère.

    D’ailleurs, avant de passer la porte, elle adorait embêter gentiment son frère, lui jouer des tours, le taquiner, pleins de petits gestes qui sont sa preuve que leur fraternité est puissante.
    Lorsqu’elle est triste, elle va s’affaler sur le sol et fixer le plafond, le ciel, le regard vide et empli de tristesse. Elle ne bougera pas d’un iota sa voix sera faible. Il n’y a que son frère pour la tirer de cette torpeur-là, lui seule connait les bons mots.

    Ensembles, ils adorent observer le ciel nocturne, et parfois ils leur suffisent de se regarder pour se comprendre. Le lien qui les unis est incassable et ce qui leur a permis de survivre jusque-là.


    De nature bagarreuse autrefois, elle n’hésitait jamais à se battre pour quelconque raison, mais lorsqu’elle fusionna avec Itami, une grande partie de cette nature laissa place à une grande sérénité et un calme à toute épreuve, mais sa vrai nature peu ressortir à tout moment. Désormais elle fait preuve d’un sang-froid qui en est presque exaspérant. Mais une manie qu’elle n’a toujours pas oublier, c’est de taper sur la tête de son poing lorsqu’un ami la taquine.



« Le Passé, c'est le Passé ! »


Histoire :

  • Kyoku est né, parce que pour vivre il faut bien naître, dans une riche famille asiatique. Les Atsume vivaient encore dans la tradition, et devait suivre les règles à la lettre si elle ne voulait pas être abandonnée. Cette famille avait toujours considéré les filles comme inférieur, ainsi, elle fut élevé sans amour, tout ce qu’on attendait d’elle, elle devait le faire. Si la jeune fille n’y arrivait pas alors elle était punie, si elle y arrivait, c’était normal et elle devait continuer. Élevé dans la froideur et l’indifférence, elle se rapprocha de son frère qui la soutenait, et lorsque sa petite sœur naquit, Kotori, elle se mit en tête de vouloir la protéger.
    Mais la plus jeune des trois enfants, étant une fille fut la plus laissée à part par les adultes. Et lorsqu’elle tomba malade, son séjour à l’hôpital fut de courte durée. Elle aurait pu vivre si ses parents avaient donné l’argent nécessaire à ses soins, si elle avait été un garçon…

    Elle avait six ans et son frère 13 lorsqu’ils suivirent, impuissant, la longue descente fatale de Kotori. Au début, Kyoku était trop jeune pour comprendre, puis elle surpris une discussion entre les adultes, ils parlaient de Kotori, de ce poids en moins, et qu’il ne leur rester plus qu’à attendre les dix-sept de l’autre sœur pour la marier et s’en débarrasser.
    Le choc fut immense pour elle, et se rendit compte qu’il n’y avait plus que son frère au monde. Celui-ci dépérissait à vue d’œil, et lorsqu’elle vint le voir pour lui dire ce qu’elle avait entendu, son état l’avait effrayée.
    La gamine n’avait qu’une peur, qu’il l’abandonne et la laisse seule, alors elle le lui dit et depuis ils furent soudé jusqu’à l’âme.

    Kyoku n’était pas le genre à être populaire, travailleuse comme elle devait l’être on se moquait de son sérieux et elle faisait bien vite comprendre qu’on ne devait pas la chercher. On finit par la craindre et ainsi elle n’arrivait pas vraiment à connaître la signification de l’amitié.

    Elle avait aussi une grande passion, le kendo, un art martial qui, après de longues années d’entraînement permettait l’usage du katana. Très vite elle s’était révélée douée pour ce sport et pratiqua aussi d’autres sport martiaux pour perfectionner son art sans pour autant abandonné le kendo.
    En cours elle avait de bons résultats uniquement grâce à son travail, elle n’avait pas vraiment de facilité en quelconque matière.
    Ainsi Kyoku grandit en haïssant sa famille, elle ne pouvait que courber l’échine devant eux sinon elle encaissait des punitions sévères. Ou elle pouvait être délaissé par les Atsume et se retrouver sans rien.
    Son frère lui offrit un goupix, elle en prit soin et il évolua en un feunard, Kyure, elle se prénommait ainsi. Avec Kaze, l’arcanin de Mudaï et son frère ils formaient ensemble une belle équipe d’ami.

    Le plus dur fut vers son approche des études supérieures, elle désirait plus que tout devenir une championne d’art martial, et donner des cours de kendo. Pourtant sa famille lui refusa ce rêve et lui annonça qu’elle ferait des études de droit. Elle essaya de tenir tête mais ne put résister longtemps. Le coup final que lui assena cette famille qu’elle haïssait fut lorsqu’elle entendit parler de ce mariage arrangé. Ils voulaient se débarrasser d’elle, cette gamine n’avait été qu’un simple poids depuis sa naissance. Ce jour-là, Kyoku était à deux doigts de prendre son katana fétiche et d’en finir avec eux. Ou avec elle. Tout restait encore flou.
    Mais le soir même, son frère lui annonça qu’il avait tout préparé pour qu’ils puissent fuir cette famille. Une ville lointaine, un club de kendo, une école de sport étude, un bon lycée, tout ce dont la jeune fille désirait et avait besoin. Elle serra la main de son frère pour le remercier, aucune parole ne suffisait, ils se comprenaient du regard et ils partir vers la gare la plus proche en pleine nuit.
    Pourtant une voiture les suivit, de trop près, leur père. Tentait-il de les écraser ? Les Atsume en serait capable, ils avaient tous les atouts politiques et financier pour que cette bévue soit oubliée de tous en un rien de temps.
    Mudaï et Kyoku se mirent à courir, ils ne voulaient pas mourir, pas maintenant, ils devaient vivre pour Kotori !
    Des larmes descendaient de ses yeux, elle voyait floue, seul la main de son frère lui permettait de savoir où aller. Essoufflés, épuisés à un coin de rue ils aperçurent une porte, étrange, elle était inondée d’une douce lumière, ce passage les appelaient tous deux, leur promettait vie et liberté.
    Sans une once d’hésitation ils y sautèrent tous les deux, main dans la main, après tout, ils n’avaient rien d’autre à perdre. Kyoku tenait fermement dans son autre main son médaillon, Kotori voyagerait avec eux…


    La lumière les dévora, elle ne voyait plus rien, sauf le regard d’un pokémon étrange, elle s’y noya puis peu à peu tout s’effaça autour d’elle, sa conscience se dispersa en même temps que la lumière.

    Vide. Tout en elle sonnait creux, comme un effroyable néant qui la grignotait. Kyoku ouvrit les yeux et découvrit un ciel froid, cette sensation lui était agréable. Elle était allongée sur l’herbe, dans un coin de l’œil elle vit une personne étrange, des oreilles noires, des cheveux châtains, une légère barbe, des yeux bleus, un débardeur, un jean déchiré, une queue noire, des cercles jaunes lumineux sur les épaules, les oreilles, le torse, la queue et les hanches. Il lui semblait horriblement familier. Elle se surprit à lui poser la question.

    « Qui es-tu ? »

    Il répondit par son prénom, Mudaï. Et elle, qui était-elle ? Un nom trottait dans sa tête, Kyoku, oui c’était elle, Kyoku.

    L’hybride se releva et vit qu’elle tenait dans sa main un médaillon, elle y tenait sans savoir pourquoi, ni d’où il venait. Elle découvrit sa main recouverte d’une mitaine de combat noire, avec un pic d’acier qui sortait de sa main. Puis ses vêtements, ses oreilles, son regard tout lui semblait familier mais étranger.
    Cet univers était étrange, ils étaient plongés dans un lieu glacé, sans rien. Les chaînes de Kratos.

Kyoku, avant de passer la porte:

« Présentation de sa moitié Pokémon »


« Généralités »


Surnom (optionnel) : Itami
Âge (optionnel) : Un pokémon se soucie-t-il de nombre de saison qu'il voit défiler ? Pour Itami, le temps importait peu, après tout la mort était toujours au bout du chemin...
Sexe : Mâle


« Plus en profondeur... »


Caractère :
  • Itami avait, à la fin de son existence, un caractère calme et posé. Il détenait la sagesse des aînés et avait la chance d’avoir du vécu. Pourtant même si ça vie l’amenait au rang d’ancien, il avait toujours les regrets de son passé et aurait aimé tout changer.
    Très libre, il n’obéira jamais à un ordre qui lui déplait et rien ni personne ne lui en fera changer d’avis. Têtue et râleur, il est strict et sévère et les compliments ne sortent pas facilement de ses babines.

    Son sang-froid est irréprochable, ce qui avait le don d’hériter tout le monde, même ses proches. Il n’a jamais su rigoler et prendre plaisir à vivre, ce qui fait partie de ses nombreux regrets, il s’est toujours lancé à corps perdu dans sa mission sans voir le temps passer et la joie le fuir.

    Il adorait se réfugier dans le froid, soumettre son corps à de durs entraînements et méditer dans le silence le plus absolue. Il a toujours considérer la lune comme l’unique personne qui pourrait le comprendre entièrement. Il a toujours porté ses erreurs et ses douleurs seul et lorsqu’il était triste il allait passer la nuit entière à regarder et parler à la lune.

    Il n’aimait pas vraiment la jeunesse qu’il considérait comme étant trop insouciante et inconsciente de la réalité, les jeunes font trop d’erreur ce qui coûte trop de vie comme il le disait. On avait beau lui répéter que l’on apprenait de ses erreurs, il rétorquait que les jeunes n’avaient qu’à répandre le résultat de leurs fautes ailleurs.

    Itami a toujours été strict envers les autres, mais aussi envers lui-même et la faiblesse de sa vieillesse va d’autant plus l’irriter et il va être encore plus dur envers lui-même.
    Toujours droit, il détenait la fierté des grands guerriers qu’importait si son dos était douloureux, si une blessure à la jambe le faisait souffrir, il ne cédait pas et n’abdiquait que lorsque ces forces lui faisaient réellement défaut.

    Lors de sa mort, il se rendit compte de la plus grande erreur de sa vie : de n’avoir su faire confiance à personne. En effet s’il avait su garder auprès de lui d’autres combattants, il n’aurait failli en aucun cas dans sa mission et aurait pu mourir en paix. Pourtant se fut avec une profonde douleur et haine envers lui-même qu’il laissa son âme rejoindre le monde déchiré.


Histoire :
  • Itami naquit il y a de cela quatre cents ans. Les lucarios étaient alors considérés comme de valeureux guerrier et certaines grandes familles appréciaient d’en détenir sous leur ordre.
    Sa mère était au service des An Keï, et il grandit aux côté de l’héritier, encore enfant. Ensembles ils étaient de très grands amis, et le petit riolu qu’il était évolua rapidement. On lui apprit à se battre jeune, car les disputes entre clans étaient nombreuses et il fallait protéger l’héritier, Hiju, telle était sa mission.

    Pourtant, le temps passa rapidement et Hiju se maria. Il eut une petite fille qu’il aimait avec beaucoup de tendresse.
    Mais un soir le clan fut attaquée et décimée, Itami se rendit vite compte de la situation et avec les forces qu’il lui restait il pouvait sauver une personne. Hiju désirait de tout cœur à ce que sa fille soit sauvée à sa place, mais l’ordre pour lequel il vivait depuis sa naissance le déchira entre sa raison et son cœur.
    La raison pris le dessus et l’héritier fut le seul survivant. Il cria sa rage sur le pokémon et finit par se suicider. Il avait échoué dans le but qu’il avait depuis sa naissance et ce fut sa première erreur.

    Depuis ce jour, il s’était promis de n’obéir qu’aux ordres qui lui plaisaient et de n’écouter personne d’autres.
    Il erra un long moment et s’enrichi autant bien en manière de combat que de culture et d’apprentissage divers.

    Mais il sauva une enfant proche de la mort, cette dernière, connue sous le nom de Biane, lui demanda de la protéger car elle avait peur. Il accepta et lui en fit la promesse. Plus tard il apprit que c’était l’unique fille d’une riche famille et il y retrouva une part de son passé douloureux.
    Pourtant il tint sa promesse, mais cette gamine grandit et l’amitié qui les liait se transforma en un gouffre. Itami n’avait plus que la lune pour y confier sa peine.

    Le temps fit de nouveau son éternel besogne et après déboires et douleurs Itami était considéré comme un ancien et était correctement traité. Il continuait de vouloir protéger cette gamine, dont les cheveux blanchissaient désormais. Voilà un an déjà que la guerre avait éclaté au loin prenant le fils aîné de Biane, et un soir alors que le ciel nocturne emplissait son atmosphère de chagrin, comme si les éléments pleuraient cette guerre. La maison fut attaquée, et Itami voulu tenir sa promesse. Mais la vieillesse ne l’avait pas épargné et il vit sous ses yeux toute cette famille tuée. Une profonde blessure lui perça le sternum, et en face de lui se présentait Biane un poignard dans le ventre.

    Elle le regarde d’un air triste, déçue et murmura

    « Tu n’as pas tenu te promesse… »

    Elle s’effondra et le vieux lucario en fit de même, le regret à même l’âme. Toutes ses erreurs, ses faiblesses… Tout, ça vie n’avait était qu’une succession de fautes et de souffrance.
    Il aurait aimé de pouvoir tout recommencer, à zéro…
    Regret…
    Pourquoi ?

    Puis il eut l’impression d’errait, son âme était si légère, le passé venait, s’en allait, le temps passait, stagnait. Une minute, milles ans ? Il ne savait pas combien de temps s’était écoulé jusqu’à qu’il sente les remords du passé l’envahir de nouveau.
    Il sentit son âme se retirer du monde déchiré et il se retrouva face à une jeune fille. Elle était jeune pourtant son regard exprimait une myriade de sentiments de souffrance et de tristesse. Elle semblait mature mais emprisonné par quelque chose.
    Elle paraissait surprise et tous deux, s’en savoir pourquoi approchèrent leur mains. Puis il n’y avait plus rien il faisait partie d’un tout. Il était cette gamine et elle était lui. Kyoku, tel était leur nom, son nom.


« A propos de Moi 8D »


« Informations »


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« Partie administrative »


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Dernière édition par Kyoku le Ven 25 Nov - 23:28, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.   Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel. Icon_minitimeMar 23 Aoû - 17:30

    || Je viens de mettre les codes ! Mais bon, vu que c'est toi qui les as inventés... xD J'ai hâte de voir ta fiche complète ! *.*
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MessageSujet: Re: Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.   Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel. Icon_minitimeJeu 8 Sep - 20:34

Et le miracle opère ! j'ai finie ma fiche 8D !
Menta j'ai besoin de ton passage ou je m'auto-valide ? x)
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MessageSujet: Re: Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.   Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel. Icon_minitimeVen 9 Sep - 20:18

    || Meuh non t'as pas besoin de moi, enfin ! x3 Mais je m'offre quand même le droit de te valider ! 8D Il faudra qu'on se fasse un RP... Quand j'aurais fini ma fiche ! x) Voilà, bon jeuuuu ! <3
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MessageSujet: Re: Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel.   Mélodie des songes, de l'oiseau enfermé rêvant du ciel. Icon_minitime

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